Cette demeure célébrée dans la préface des Lettres de mon Moulin, fut avant tout un lieu de calme et de repos pour l'écrivain Daudet : "Maison bénie, que de fois je suis venu là, me reprendre à la nature, me guérir de Paris et de ses fièvres..."
Il fut édifié au VIIIe siècle afin de résister aux invasions sarrasines, sur un rocher à pic à 279 m d'altitude. Le château est mentionné dès 997 dans un acte et dans de nombreuses chartes du cartulaire de l'abbaye de St Victor
Installé d'abord au confluent de la Durance et du Rhône, le village se justifie à l'origine par l'existence d'un bac sur le fleuve. Il se constitue en place-forte à partir du IXe et c'est à la Révolution qu'il devient un ensemble de vestiges qui...
Niché dans un écrin de verdure, le château du Morimont est mentionné pour la première fois en 1183 et contrôlait la haute vallée de la largue. Détruit pendant la guerre de Trente Ans par les troupes françaises
Extérieurs et parc. Le Domaine présente un intérêt d'art et d'histoire en raison de son caractère représentatif de l'évolution d'un grand domaine foncier du Perche ornais du XVIIe au XIXe siècle.P
Manoir du XVIIème siècle agrandi en château sous le 1er Empire. Le château du Tertre, propriété privée, de style Louis XIII fut construit par Bry de la Clergerie, historien du Perche, agrandi par Abrial
Magnifique bâtisse en briques et pierres de grès, couverte en ardoises avec un toit très élevé. Etang du Miroir dans lequel le château, élégant et pur spécimen de style Louis XIII, se reflète
Très classique, pur XVIIIème, ce château a été construit de 1785 à 1788 pour le comte de Vigneral, par l'architecte local Nicolas Gondouin. Plusieurs demeures de la région portent sa signature notamment le château d'Assy (Ouilly le Tesson
Château des XVI ème et XVIII ème siècles. Situé à 2km de Bagnoles-de-l'Orne, le château de Couterne couvre une vingtaine d'hectares. Il est sillonné par plus de 3 km d'allées entretenues et boisées
Le château de Chèreperrine est le vestige d'une imposante demeure du XVIIIe, construite par la Marquise des Alleurs, maîtresse du Grand Dauphin. Partiellement détruit par un incendie en 1925, il n'en subsiste que la partie centrale