Une folie de style néo-Renaissance inspirée de châteaux de la Loire construite de 1895 à 1898 par Stephen Liégeard, l'inventeur du nom de ''Côte d'Azur''. A l'intérieur, visite de la bibliothèque, de la salle de billard, du salon
Le Château de Thil, considéré comme l'une des plus anciennes forteresses de France, est situé à la limite du Morvan et de l'Auxois, sur une colline de 500 m d'altitude environ. L'occupation du site remonte à des temps immémoriaux
Au-delà de la porte charretière, on aperçoit la maison-tour du XIIIe s., vénérable donjon carré avec tourelle d'escalier à vis coiffé d'un toit en tuiles
Le chateau d'Ecutigny, construit sur le site gallo-romain, remonte au XIIe s. Puis la reconstruction de l'ancienne place forte est entreprise ''à la moderne'', ce dont témoignent aujourd'hui deux pierres portant les dates de 1632 et 1646
Dans l'enceinte du château édifié au XVIIIe s. sur la forteresse médiévale démantelée, on visite uniquement la collégiale Saint-Jean du XIVe s. De style gothique très pur, elle renferme des peintures murales
Derrière un rideau d'arbres se profile le château construit en 1500 par Edmé Régnier. Ses ailes ont été modifiées aux XVIIIe et XIXe s., notamment par l'adjonction d'une toiture en ardoises au lieu de la tuile traditionnelle
Gardienne de la vallée de l'Armançon, de l'an Mil à la Révolution, la maison forte du XIIIe s. fut remaniée par Roland d'Haranguier, capitaine pour Henri IV de la forteresse de Semur, avec jardins en terrasses, escaliers d'honneur et portique
Situé au centre du village à côté d'une église gothique avec de belles gargouilles, le château du XVIIe s. est composé d'un corps de logis et de deux ailes disposées en U. Derrière s'étend un vaste parc dont le dessin est attribué à Le Nôtre
Château du XVIIe s. constitué de deux corps de bâtiment, à angle droit. La façade ouest est limitée par deux grands pavillons carrés renfermant chacun, un escalier de pierre avec rampe fer forgé, classé Monument Historique
On retrouve l'ambiance du XVIIIe s. dans ce château où le colombier et les communs encadrent les corps de logis aux façades identiques couronnées de frontons et dotées d'un éclairage au gaz
Une 'maison des Champs' coiffée de tuiles vernissées, aussi élégante qu'un hôtel particulier parisien, édifiée en 1723 par l'abbé Jolyot, chapelain du roi Louis XV. L'harmonieuse façade classique cache en réalité trois étages dont un vestibule...