Plasticien-sculpteur, chef de fil du mouvement d'art contemporain Neopremier . Ce nouveau courant symbolise la fusion des temps. "Toute civilisation et toute société porte en elle ses ancrages de tribalisme"
Une orangerie et un rucher datant des années 1830-1840 témoignent d'un premier parc. A proximité de l'habitation, le tracé régulier s'orne de topiaires et de cabinets de charmille et d'un espace paysagé créé au début du XXème.
L'un des plus vastes jardins en terrasses de Lorraine conserve encore ses soutènements d'origine (1702), reliés par quatre escaliers monumentaux. Parc multiple, il recèle également un potager en creux
Précédé par un petit jardin régulier, le château domine un vaste parc à l'anglaise agrémenté de plusieurs étangs. Le potager a conservé ses bordures de buis et une serre en dos d'âne
Le parc romantique qui s'étend à l'arrière du château a été aménagé au milieu du XIX° siècle d'après les plans de Paul de Lavenne de Choulot. Il laisse deviner ce que put être au même emplacement le jardin à la française dessiné par Gervais
De prime abord, le parc tracé pour le baron de Mesny semble illustrer les principes qui amènent à faire un beau paysage de ce bien. Ce jardin du paraître dissimule en fait un jardin de l'être
Structuré par des chambres et niches de charmilles encadrant une pergola, ce jardin forme balcon sur un paysage peu altéré depuis l'époque où Emmanuel Héré habitait les lieux. Recréé patiemment à partir de 1970