Parc romantique paysager et boisé planté au XVIIIe siècle d'arbres aux essences variées, véritable écrin de verdure de l'impressionnant bâti qu'est le château du XVe.
Situés au cœur de la vallée de l'Authie, les Jardins de Valloires présentent une collection unique en France de 5000 espèces et variétés d'arbustes rares.
Aux abords de l'église, espace clos comprenant un potager fleuri inscrit à l'inventaire supplémentaire des Monuments Historiques. Bordure et quadrillage de buis, légumes, arbres fruitiers, rosiers, fleurs et un parc dessiné par L.S
Attribué à Le Nôtre, ce parc de 20 ha qui comporte de nombreuses statues du XVIIème siècle, a reçu au cours des siècles suivants, un certain nombre d'aménagements paysagers. Présence d'une glacière, d'un souterrain, d'une pièce d'eau
A proximité de la forêt domaniale de Hez-Froidmont, dans la vallée du Thérain, au pied dune église inscrite et dune maison en lanterne construite de 1767 à 1770 pour être l'hôtel presbytéral du lieu
Jardin éclectique où de nombreux espaces à thèmes se succèdent sur 12000 m2 : jardin d'inspiration japonaise, jardin de topiaires, espace bonsaï (140), potager, jardin d'aromatiques et légumes anciens bordé de conifères taillés
Autour d'un château brique et pierre XVIIIème s'articulent 8 ha de jardins à l'anglaise, un parc, un potager... le tout animé de bassins, fontaines et gloriettes
Autour du château du XIXème et de ses dépendances, un vaste ensemble paysager : jardin potager au tracé ancien, roseraie, arbres séculaires, plantes vivaces... Sites classés ou inscrits à l'inventaire de la DRAC
"Jardin de curé" cultivé au naturel, il est devenu l'atelier à ciel ouvert d'une artiste. Potager, 70 rosiers anciens et modernes, dahlias, vivaces, graminées. Bordures de buis, d'aromatiques, de plessis et de rhubarbe...,
Dans le prolongement d'une fermette en torchis implantée au XVIIIe siècle dans ce village du Val de Nièvre, le jardin surprend par son agencement qui met en scène une importante diversité de plantes collectionnées
Le calcaire du plateau picard a été creusé en maints endroits pour former des refuges appelés "muches" (cachettes en Picard). Celles de Naours, redécouvertes à la fin du XIXème siècle, sont les plus vastes actuellement connues