Sortir dans le Rhône

Guidés par un jardinier botaniste, des visites thématiques permettent de découvrir une collection particulière ou une présentation générale du jardin ou des serres. Selon les saisons, quatre thèmes de visites sont proposés :

Au nord de la cathédrale Saint Jean, en accès libre : baptistère et vestiges des églises Saint Etienne et Sainte Croix (IV°-XVI° s.). A cet emplacement existaient ces 2 églises qui, avec la cathédrale, formaient le groupe épiscopal de Lyon

Le Fort détaché de Vaise, construit dès 1834, fait partie d'une enceinte bastionnée entourant Lyon. Dépassé par l'évolution de l'artillerie puis mis en péril par la construction du boulevard Saint Exupéry en 1966

De forme trapézoïdale, bien caractéristique de la fortification polygonale, il est protégé sur tout son périmètre par un fossé sec qui interdit tout investissement du massif central par un assaut d'infanterie

Restaurant, club, pub, discothèque, ambiance lounge

Aujourd'hui, le Parc de la Tête d'Or fait partie intégrante de l'identité de Lyon et de sa renommée. Il s'agit du plus grand parc de France à se trouver au cœur d'une ville et il attire de nombreux visiteurs toute l'année

Situé sur les coteaux, au-dessus de la vallée de la Saône, il y aurait eu à l'origine une tour de guet du XVIe siècle. Le hall d'entrée possède une peinture panoramique sur papier, attribuée à Joseph Dufour (1754-1827)

La chapelle de Rochefort fut un lieu fort fréquenté par les pèlerins en route pour Saint Jacques de Compostelle (le vitrail du chur et les piédroits de la première chapelle en témoignent)

Dans l'ancien village de Châteauvieux, la chapelle du XIème siècle dédiée à St Jean Baptiste, se dresse dans un site exceptionnel

Aménagé dans l'ancienne école de santé militaire, à l'intérieur des bâtiments où Klaus Barbie, chef de la Gestapo de Lyon, a sévi, le CHRD s'attache à être plus qu'un simple musée du souvenir

Énorme monolithe de béton entièrement précontraint, l'Auditorium de Lyon impose sa silhouette au cœur du quartier de la Part-Dieu. Conçu par Charles Delfante, urbaniste et architecte en chef de la Part-Dieu, et Henri Pottier, grand prix de Rome

En 1987, le jardin s'ouvrait pour la première fois au public et en 1989 devenait, dans le cadre de la loi 1901 «l'Association des Roses Anciennes de la Bonne Maison» pour la sauvegarde et la recherche des roses d'autrefois